supported by 6 fans who also own “Sacred and Profane (live)”
Swirling guitars, furious drums, vocals that at the same time howl from infinite distance and are right up in your head; everything put into dissonant form with the help of unconventional songwriting. This album is my personal key to the icelanding black metal madness that I've ignored for way too long! Lukas Kaufmann
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Dans Invicta, Theophonos reprend une formule qu'il maîtrise bien : un black metal furieux s'inspirant de thèmes antiques grecs qui aura vite fait de perdre la personne inattentive. Mais en même temps, il sait comment changer cette formule — et il ne fait vraiment pas semblant — puisque cet album est en grande partie instrumental. Theophonos, en vrai virtuose, a l'audace de créer une ouverture de 14 minutes qui passe comme un ouragan. Comme quoi, le titre de l'album ne ment pas : il est invaincu. Jordan Vauvert
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Habituellement, j'écris mon commentaire dans la foulée une fois que j'ai terminé tel ou tel album mais là... J'ai vraiment besoin de quelques minutes, pour reprendre mes esprits. Parce que Serpent Column a totalement perdu le sien dans Endless Detainment. Cet E.P., c'est un cataclysme de black/death metal cacophonique et hystérique qui tient sur vingt-et-une minutes et qui ne s'arrête jamais — au point de s'achever avec un fade out. Tout tient ensemble grâce à un sens de la technique inhumain ! Jordan Vauvert